jeudi 30 juillet 2009

Séjour à Saigon

Les photos sont en ligne ici.

Mardi 28 Juillet – Dalat/HoChiMin City (Saigon)

Encore un matin où on se lève tôt pour prendre le bus. A 6h30, le réveil sonne… Le bus est censé venir nous pick up à 7h15, donc il faut faire le check out à 7h. Le check out se passe bien comme d’habitude, juste qu’au début la miss dit qu’elle n’a pas de quoi nous rendre la monnaie. Ca coute 468 000 dongs pour 2 nuits et 2 motos et on lui a donné 500. Du coup on lui a donné que 400, et là elle s’est mise à avoir de la monnaie J. Ah c’est vietnamiens… toujours les mêmes !

Le bus était comme toujours en retard, on est parti de l’hôtel à 7h45 en 4x4 pour rejoindre le bus, et nous sommes sortis de la ville seulement à 8h, on a déjà 30 minutes de retard sur le programme. Nous sommes censés arrivés donc à 16h… On remarque vite que c’est le même bus de merde que celui entre Nha Trang et Dalat, où nous avons eu des soucis ! Les fausses enceintes pionneer, quelques fauteuils cassés, et les rideaux snoopi, il n’y a pas de doute, c’est celui là !

Du coup, voilà, on a de nouveau des soucis. Déjà la route qui est dans un sal état de nouveau, donc on roule pas bien vite et on secoué dans tous les sens J. Ensuite, lorsque nous nous arrétons vers 12h pour manger, on crêve sur le parking et il a fallu démonter la roue, coller une rustine, attendre, remonter tout ça, et remettre le pneu… tout ça sous une bonne pluie ! Nous avons retrouvé dans notre bus une des australiennes du bateau de Nha Trang. Nous avons du coup passé un bon moment avec elle dans ce bus là.

Ensuite, il nous a fait le coup de rouler à 2 à l’heure… Arrivé à HCMC (Saigon), des bouchons interminables, des voitures à gauche, à droite, des bus, des motos, ça grouille… du coup commence une guerre sans merci avec un mini bus. Il nous rafle tout le côté du bus, et on lui a démonté son parchoc… le chauffeur est descendu, le notre aussi, ils se sont engueulés, et d’après ce qu’on a compris le gars du minibus voulait des sous ou quelque chose, alors que c’était lui qui avait tord ! Du coup il a pas arrété d’essayer de nous doubler, de se mettre en travers de la route pour nous bloquer et faire descendre notre chauffeur… ils se sont engueulés, on a encore perdu du temps. En plus il y avait des bouchons vraiment interminables… Du coup, arrivé à 19h à notre point d’arrivée dans le centre de Saigon ! 11h après le départ de Saigon, soit 4h30 de retard sur l’horaire prévu J. Heureusement qu’on a fini nos moments en bus au Vietnam, là on a eu notre dose ! Plus jamais ce bus non plus !

A la fin du trajet, le chauffeur nous a mis un dvd, c’était des passages du concert des Begles. On a eu le droit à Sunny, Rasputin… puis il a mis en route les néons du bus, rouge vers l’avant, blanc au milieu, et vert à l’arrière ! on a bien rigolé, ça nous a fait passer le temps.

Du coup à l’arrivé, une fois que nous avons regardé sur le carte, on a vu que nous étions bien dans le centre, là où nous voulions être. On nous a proposé un hôtel à 10 US$, la chambre est spacieuse (on a 3 lits donc ça nous fait de la place pour nous étaler), une salle de bain correct, une clim, une télé, et un frigo. Par contre on est au 5ème étage, c’est un peu haut mais ça fait les jambes ! Il n’y a pas internet non plus, mais il y a moult de cafés en bas avec du wifi, il suffira d’aller boire un café ou un milkshake. D’après le Lonely, c’était plus cher à Saigon au niveau du logement, à partir de 12 US$, donc on ne va pas aller voir ailleurs.

Nous avons trainé quelques instants dans notre chambre puis sommes allé manger dans une adresse du Lonely. On n’a pas très faim, pour ma part j’ai mangé une baguette avec de la vache qui rit, à une pause sur la route pour Saigon, vers 15h. La vendeuse m’a mis des carottes râpées à l’intérieur de la baguette, avec une sauce bien citronnée, c’était vraiment bon !

Du coup ce soir ce sera simplement une salade Caesar.

Nous nous sommes ensuite promené dans le carré. Le centre des étrangers, avec des bars, de l’activité, est vraiment dans un carré de 4 rues dont celle où l’on dort, une où l’on a mangé, et 2 autres où nous nous sommes baladés. Il y a vraiment beaucoup de circulation.

Par contre Saigon, est une ville différente de ce que l’on a eu pour l’instant au Vietnam. Ça se voit que cette partie du Vietnam était contrôlée par les US. Il y a de grandes avenues, une architecture assez occidental, et l’ambiance fait penser à un pays comme l’Espagne, le Portugal. Cela ressemble un peu à ce que nous avons eu à Macao, qui a été sous influence portugaise.

On a pris des petites ruelles à l’intérieur du carré d’activité, on s’est retrouvé comme dans un arrière pays, calme, avec que des locaux, ça change de la rue avec que des touristes !

Par contre, il y a quelque chose de très indécent ici à Saigon. On est habitué à depuis qu’on soit parti de Beijing, à ce que l’on nous propose de la drogue dans la rue. On est des jeunes étrangers, donc ils viennent nous en proposer, que ça soit dans le Yunnan, à Guilin, à Yangshuo, à Macao, Hong Kong, Hanoi, Hué, Nha Trang… plus ou moins avec insistance. Mais là ici, c’est sans arrêt. Il y a que ça dans la rue, des jeunes à motos qui en proposent tous les 5 mètres ! de jour comme de nuit ! et le pire, c’est qu’on avait déjà vu des prostituées dans les rues, qui venaient aguicher les blancs dans les rues, mais là c’est 100 fois pire à Saigon. On sait que le Vietnam, l’Asie du Sud, il y a le tourisme sexuel… A Nha Trang, le responsable du club de voile était un Australien qui faisait environ 55/60 ans, et qui d’après ce que nous avait raconté ses employés, était marié avec une vietnamienne de 22 ans, qui en avait que 16 à l’époque du mariage…

Mais là, il s’agit carrément de jeunes de notre âge, des garçons, qui tournent à vélos dans le carré, en agitant une sorte de petit fouet qui fait du bruit comme des maracasses. Au début on ne comprenait pas pourquoi on voyait ces jeunes tourner à vélos en rond, en secouant leur truc qui fait du bruit pour qu’on les entende arriver. Du coup on a demandé à une épicière ce qu’ils vendaient, mais on a rien compris à son explication. Du coup on en a arrêté un et on lui a demandé pourquoi ils faisaient ça. Là il nous a expliqué qu’il proposait des sexes massages ! Au moins on est moins ignorants maintenant ! Mais ils tournent vraiment très longtemps, les flics disent rien, on les a entendu de notre chambre jusqu’à ce qu’on s’endorme vers 1h… Ah, l’Asie du Sud... C’est censé être répression totale concernant la drogue et autres, mais ils proposent cela dans la rue, sans aucune discrétion, et personne ne leur dis rien, il n’y a pas de flics… Entre les prostitués, les vendeurs de drogue, les vendeurs de livres en langue anglaise et les gars en motos qui proposent leur service de taxi, on est très sollicité ! C'est vraiment qu'il y a des touristes qui doivent profiter de tout cela, c'est accablant... Malheureusement, on ne peut rien faire à part le constater et le faire savoir. On a bien de la misère malheureusment chez nous aussi, en France.

Par contre ici, il faut faire encore plus attention à ses affaires. Le Lonely Planet mettait bien en garde sur les motobikers qui arrachent les sacoches, j’ai toujours la main sur la mienne. Et la miss de notre hôtel nous a dit qu’un client s’était fait voler tous ses papiers, son portefeuille, son argent et ses cartes de crédit, tout ça dans la rue pendant la soirée ! on n’est jamais à l’abri, donc on reste très vigilent. C’est ça les grandes villes ! Mais bon, faut pas dramatiser, à Paris c’est pas forcément mieux pour les touristes, le nombre de pickpockets qui agissent dans la rue et dans le métro ! Et puis même si je préfère la campagne avec des paysages sans que ça grouille de monde, il y a quand même de belles choses à voir en ville. C’est différent, mais ça mérite d’y passer un peu de temps.

Nous sommes rentrés à l’hôtel, et je suis ressorti un moment dans le café d’à côté pour avoir une connexion internet.

Quand nous nous sommes arrêtés cette après-midi sur la route, dans une sorte de station essence, ils vendaient des canettes de Bird’s nest (nid d’oiseau), avec comme parfum : white fungus, ce qui veut dire moisissure blanche. Au niveau de la composition, c’était aussi marqué « whithe fungus »… ça nous a bien fait rire ! On a pas voulu tester pour autant...


Mercredi 29 Juillet – HoChiMin City (Saigon)

Ce matin, levé un peu plus tard lorsque nous n’avions plus envie de dormir, cela fait du bien aussi. Nous sommes allés prendre un café et pour ma part un apple danish dans un café à côté de l’hôtel. Un apple danish est une sorte de chausson au pomme, mais avec une pate plus proche d’un pain au lait. Ce café était recommandé dans le Lonely Planet, et on n’a pas regretté ! J’ai pris un café froid avec de la glace, et il avait un bon gout de vrai café ! C’est un café qui emploi des handicapés, et qui est donc pour la bonne cause. En plus les tarifs sont classiques pour ici, 2€ le petit déjeuner patisserie+café.

Thibault a voulu louer une moto, mais moi, comme nous avons 2 jours à HCMC, je préfère faire correctement le centre à pied, même si du coup je marche + (il fait chaud, c’est sur…), mais j’ai le temps ! mais du coup je ne suis pas sorti de la ville pour aller sur les berges.

Je suis donc parti avec mes cartes du Lonely et mon programme que je m’étais fait.

Tout d’abord le Temple Hindu Mariamman. C’est un temple Hindu, situé dans le centre. C’est mon premier temple Hindu ! Ensuite j’ai traversé un marché, avec à la fois des poissons, fruits et légumes, et des fausses montres et vêtements au milieu de ces odeurs nauséabondes… Du coup il n’y avait pas beaucoup de touristes, mais ce n’est pas étonnant ! Je suis ensuite parti faire le quartier de l’hôtel de Ville (People’s Committee Building). Il y a une place magnifique, style contemporain que l’on pourrai trouver chez nous en europe. Ensuite il y a différents squares, qui mènent jusqu’à l’Opéra municipal.

Après avoir bien marché depuis le début de la journée, je me suis arrêté dans une librairie, à la recherche de mon deuxième bouquin pour la plage. J’ai eu du mal à trouver, j’ai bien du rester 30 minutes à chercher. Ils n’avaient qu’un petit rayon, rien n’était classé, et je ne connaissais rien des livres qu’ils avaient, où je les avais déjà lu (il y en avait de Michel Houdelbeck, John Tropper…). J’ai finalement choisi un classique : Balzac, Eugénie Grandet. Ça ne me fera pas de mal un peu de classique français !

Je me suis remis à ma marche. J’ai remonté différentes avenues pour arriver à la Cathédrale Notre-Dame. Elle était fermée, et n’est visitable qu’entre 15h et 16h.

J’ai donc fait une pause dans un KFC pour manger une caesar salad (encore une, mais il fait chaud, je n’ai pas faim, et une salade redonne quand même de l’énergie). Au vietnam, il n’y a pas de mc do, mais au moins au KFC ils font les salades !

J’ai traversé différents square pour arriver au Palais de la Réunification. Il s’agit de l’ancien palais du président du Sud, construit en 1966. En effet, d’après ce que m’a expliqué une guide vietnamienne qui voulait pratiquer son anglais, jusqu’en 1975, le sud du vietnam était contrôlé par les USA, et le nord était indépendant. En 1975, après la guerre, le sud a été libéré des USA et le pays a été réunifié en un seul. Et cela a été signé dans ce palais, ancien palais du président du sud, d’où le nom de palais de la Réunification (du Vietnam), ou palais de l’indépendance (du sud, par rapport aux USA).

Je croyais que c’était la France qui avait colonisé le Vietnam, mais c’était les USA qui contrôlaient le sud… faudra que je révise mon histoire de retour en France, maintenant que je connais ma géographie de l’asie du sud.

Je suis bien resté 1h30 à visiter ce palais, à me promener entre les salons du président, son salon de jeux, les salons de réceptions de la femme du président, et les sous sols avec la salle de guerre, la salle des cartes, la chambre du président en état de guerre, etc. Il y a également un grand parc avec même des terrains de tennis ! Ils étaient vraiment fans du Tennis au Vietnam. Il y en avait un aussi dans la cité interdite vietnamienne à Hué. L’empereur en avait fait construire un et s’était mis au Tennis, lorsque les premiers pays occidentaux avaient envoyé leurs ambassadeurs en Asie, et qu’ils avaient amené avec eux la culture de nos sports d’occidentaux.

Vu qu’il était 15h30, je suis retourné à la Cathédrale pour pouvoir y entrer pendant qu’elle était ouverte. Il n’y avait pas beaucoup de visiteurs, et les touristes présents s’y étaient arrêté pour se recueillir. Cela ne fait pas de mal non plus, de rentrer dans une église ! Le calme, la fraicheur, l’ambiance…

Vu que je n’avais pas encore envie de rentrer à l’hôtel (nous nous étions donné rendez-vous à 19h maximum à l’hôtel avec Thibault), j’ai filé au nord de la vile au jardin botanique et zoo de Saigon. Par rapport à l’hôtel, je suis maintenant bien à 3km ! je n’ai pas vu les kms avancés…

Le zoo était correct, mais sans plus. Il faut dire que maintenant je suis très exigent en matière de zoo, pour m’impressionner, il en faut beaucoup ! J’ai fait le zoo de San Diego l’été dernier, qui est vraiment le meilleur que je n’ai jamais fait, vraiment mieux que le zoo de la palmire qui est un des mieux en France. Dans le zoo de San Diego, il y a un téléphérique, un système de bus, c’est vraiment très très grand, il y a de grands espaces pour les singes, les pandas… Et puis quand nous étions à Chengdu nous avons fait un parc avec que des pandas géants et des pandas roux. Donc on ne peux plus me faire plaisir avec des pandas dans un zoo. A Haerbin, on a fait un parc avec des tigres et des lions, donc on ne peut plus m’impressionner avec ça non plus. Des bambis, j’en ai vu et revu, même carressé encore à Haerbin. Tout ce qui est loutre et lion de mer, j’en ai vu en spectacle et dans l’eau à Dalian (Chine encore), où nous pouvions leur donner à manger. Les chèvres et moutons, on en a chez nous en liberté dans les champs ! Les éléphants, j’en ai vu en liberté dans la Cité Interdite à Hué, et je vais en voir dans la montagne au Cambodge et au Laos et en Thaïlande aussi.

Mais bon, je voulais quad même allé faire un tour à ce jardin botanique et zoo, pour avoir un peu de verdure et de nature après une journée passée en ville avec de la circulation en permanence !

Sur le chemin du retour, je suis passé dans le 2ème bookstore recommandé par le Lonely à Saigon. Il n’y avait plus de livres en français… mais des magazines. Du coup, j’ai acheté le dernier Courrier International qui a l’air très intéressant. J’ai fait mon plein de lecture ! Demain, je compte allé à la plage où dans un waterpark, donc ça me fera de la lecture et les articles de fond du Courrier International ne me feront pas de mal.

J’ai ensuite marché tranquillement jusqu’à l’hôtel, c’était un peu loin, j’ai les jambes en compote ! Le temps est à l’orage, on dirai qu’il va y avoir une grosse pluie. Les motobikes taxis en profitent pour me vendre avec encore plus d’insistance leurs services, en ajoutant la pluie qui va arriver comme argument ! au final, pas de pluie, et j’étais bien à marcher à pied, cela ne me fait pas de mal ! au final, on a jamais marché depuis qu’on est arrivé au Vietnam. On prend toujours des motobikes, et on s’est pas baladé dans la montagne ou autre. Je viens des montagnes moi, j’ai besoin de marcher J.

De retour à l’hôtel, Thibault est arrivé pas longtemps après. Nous avons trainé devant TV5. Oui, il faut qu’on l’avoue Thibault, on regarde Question pour un champion depuis maintenant plusieurs jours… ça nous fait exercer notre culture J ! Et puis ensuite cela enchaine avec les nouvelles, alors on aime bien suivre. D’ailleurs, aujourd’hui, rien d’intéressant…

Un peu avant 21h, nous sommes partis à la recherche d’un restaurant. Je n’avais pas faim, donc pour varier, j’ai pris une salade ! Cela fait du bien de manger de la laitue depuis plusieurs jours, un plat qui est classique et qui fait occidentaux ! J’en profite tant que j’ai accès à cette nourriture !

Il fait tellement chaud au Vietnam, que je reverrai presque de rentrer d’un stage vers 18h à mon appartement à Paris, de filer à Champion acheter une salade (une laitue ou une iceberg), une boite de maïs, des tomates, des poivrons, du thon ou des lardons, et de me faire une bonne salade avec une bonne sauce faite maison ! Mais il ne faut pas que je réfléchisse trop, je sais que je consacrerai mes 10h d’avion de Bangkok à Paris le 13 septembre, à réfléchir à mon menu pour mon premier repas chez moi dans ma chère cuisine. Je ne sais même pas combien d’heure il y a entre Bangkok et Paris en avion, mais ça me suffira tout juste à définir mon premier repas et ma première liste de course.

D’ailleurs, s’il me reste du temps dans l’avion, je me permettrai de définir les menus des différents repas que j’aurai chez mes parents lorsque je rentrerai en isère fin septembre ! ainsi que les desserts (quelle tarte, quelle confiture au petit déjeuner), le plateau de fromage... D’ailleurs, je compte sur mes parents pour me ramener des Estrellas d’Espagne (les cornflakes que l’on ne trouve pas en France, mais en Espagne et en Chine), pour mes petits déjeuners en Isère. Au moins 3 boites… (et un petit peu de moscatel et de porto, pour mes appéritifs à Paris J). Je peux déjà leur dire que je veux manger à chaque repas du fromage blanc du marché ! pour faire digérer comme on dit chez moi. Même pas besoin d’un coulis, juste un fromage blanc de chèvre ou de vache, avec du sucre (versé en plusieurs fois car on ne sait pas utiliser un soupoudriller dans ma famille !). Désolé pour l’orthographe de ce mot, Word ne le connais pas, et moi je n’en suis pas convaincu…

Hier dans le bus pour Saigon, notre amie Australienne nous a dit qu’elle est venue plusieurs fois à Paris, et nous a fait parler nourriture. Qu’est ce qu’elle a pu nous faire du mal !!!

Après notre repas dans notre quartier (toujours dans le carré d’activité), nous avons pris un pousse-pousse sur un bon kilomètre, pour aller voir l’autre quartier de Saigon, où il est censé y avoir de l’activité le soir aussi. 0,40€ la course… J’avais plu de force dans les jambes, alors j’ai pas refusé l’idée du pousse-pousse !

Au final, rien n’était ouvert dans ce quartier, il n’y avait personne dans les bars, rien du tout ! Alors nous sommes revenu jusqu’à notre quartier (nous sommes passés par la place du peuple, illuminée de nuit, c’était à voir), avons bu une corona à 1€ dans un bar au 4ème étage avec une vue sur le quartier, et sommes rentrés nous coucher.

Je suis redescendu dans le hall de notre hôtel pour profiter du wifi du bar de la veille, puis direction dodo.

Nous nous sommes renseignés, nous irons directement de Saigon à Phnom Penh. En 6h on y est, donc pas besoin de passer par Chau Doc. Nous partirons d'ici le 31 aout, par le bus de 11am.

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